46 - L'énergie est une nourriture !!!
Clarifier et dissoudre les ombres de son passé,
est-ce si difficile que cela ?
est-ce si difficile que cela ?
Les cycles de créations indésirables non terminés, qui nous obligent à divers comportements destructeurs et maladies physiques dans le temps présent, nous créant même un futur peu enviable, doivent être absolument terminés d’une façon ou d’une autre. Le bonheur et même la simple survie sont à ce prix.
Mais pourquoi dans la majorité des cas est-ce si difficile, si long, si douloureux, si “apeurant”, si... ?
Très simplement cela pourrait être dû à notre incapacité à faire face à l’énergie de la création non terminée et refoulée.
Je ne veux pas me rappeler du trauma que j’ai eu à l’âge de 7 ans... Trop d’énergie, ce qui veut dire trop de douleur émotionnelle !
Je ne veux pas étudier la vraie raison de mes échecs que cela soit en amour ou en affaire... Trop d’énergie, trop de douleur émotionnelle !
Je me sauve devant n’importe quel problème... Trop d’énergie, trop de douleur émotionnelle !
Les créations sont faites d’énergie que nous ressentons et expérimentons sous forme d’émotions (parfois même sous forme de somatiques). Comme nous avons besoin d’énergie pour survivre en tant que corps et même en tant qu’esprit cela devrait être "nourrissant" !
Quand nous expérimentons une création positive, un massage ou une communication amicale par exemple, cela contient de l’énergie considérée comme positive, une énergie qui “nous veut du bien” et donc nous l'acceptons et nous l'intégrons. Cette intégration est une assimilation de l’énergie et cette assimilation nous nourrit.
Quand nous expérimentons une création négative, une paire de claques ou un coup de poing ou une communication insultante par exemple, c’est encore de l’énergie, mais dans la majorité des cas nous n’arrivons pas à lui faire face et à l’intégrer. Nous considérons donc que c’est une énergie négative. C’est négatif simplement parce que nous ne pouvons pas y faire face, nous ne pouvons pas l’intégrer, nous ne pouvons pas l’assimiler, et donc cela ne nous nourrit pas (c'est indigeste !).
Pire, comme nous ne pouvons pas “digérer et assimiler ” cette énergie nous ne voyons qu’une issue pour “survivre”, c’est de la refouler et ce refoulement utilise notre propre énergie. Ce qui veut dire que sinon elle ne nourrit pas, mais elle nous coûte en énergie.
Donc la bonne question pourrait être : comment faire face à l’énergie... y compris à une certaine forme énergie négative ?
Y aurait-il un chemin permettant d’augmenter sa capacité à recevoir des énergies “négatives”, à les intégrer et à en sortir vitalisé ?
Qu'est-ce que vous en pensez ?
QUESTION - RÉPONSE
ATIAN de REZO.
Question sur le bulletin 39.
Concernant le dernier bulletin sur le Blog (Ch 39, qui crée ?), j’aurai des propositions de réponses et aussi des questions par rapport aux questions posées :Question sur le bulletin 39.
Si la nature d’une réalité est une onde qui une fois observée devient particule, quelle pourrait être la nature de l’observateur ?
Ce qui me vient c’est que l’observateur ne serait pas une onde. Il ne fait qu’observer. Tout comme je ne serai pas le souffle qui sort de ma bouche mais je le crée, tout comme je ne suis pas mes pensées mais en suis le créateur. Question : Mes pensées seraient-elle une onde ?. Ça me plait assez bien de le considérer ainsi. La nature de l’observateur est : RIEN, un statique.
Claude : Les pensées à leur niveau le plus haut seraient de l’onde. Si elles sont agglutinées avec de l’énergie (émotion), elles sont des particules. Si elles sont encapsulées dans des émotions négatives, elles sont des particules lourdes, de la masse.
ATIAN : Est-ce que la réalité pourrait provenir d’un champ unifié de conscience ?
Je me rends compte que ce terme “champ unifié de conscience” ne me parle pas trop. D’après la définition, ce serait un espace de conscience unique. Mais je ne comprends pas beaucoup plus. Je me sens bizarre de ne pas comprendre ça. Peux tu m’aider s’il te plait ?.
Claude : un champ de force serait comme un espace contenant des potentialités, comme un champ d’onde, mais pourrait être aussi un champ déjà réalisé ou en voie de réalisation.
Va en boîte de nuit et tu sentiras un champ de force potentiel dont une partie est déjà réalisée ou en voie de réalisation, par exemple “amusement et sexe”.
Va dans une église et tu sentiras un autre champ potentiel qui dans son silence peut être moins amusant et où en principe il n’y a pas de promesse de sexe, mais qui est plus propice à la méditation et au ressenti subtil.
Mais le champ d’une église ou le champ de la boîte de nuit ne sont que des champs particuliers (des espaces spécifiques).
Tous ces champs ou tous ces espaces proviennent d’un champ unifié de conscience (ou champ d’onde neutre) ou d’un espace unique de conscience, d’une espèce de Substance unique et universelle qui est découpée par des groupes de personnes pour en faire un espace particulier.
Ces champs ou espaces spécifiques sont créés avec l’attention et l’intention des Êtres. C’est une co-création entretenue par l’attention et l’intention des nouveaux adhérents (de la boîte ou de l’église) ainsi que par leur argent.
Est-ce plus clair ?
Sinon fais le procédés : va dans une église... puis va dans une boîte de nuit - église... boîte - église... boîte - Jusqu’à une belle compréhension :-)
ATIAN : Est-ce qu’il est possible que le fait de nommer une “chose” lui permette de “devenir” ?
C’est assez « bousculant » de le considérer ainsi. J’ai l’impression d’un Koan Zen. Comment pourrais je nommer une chose qui n’existe pas encore, et comment cette chose pourrait-elle avoir une existence si je ne l’ai pas déjà étiquetée ? Je pensais que c’était clair pour moi, et je vois… que je ne vois pas bien.
Maintenant, tu parles de “devenir”. Ce serait comme si cette chose existait déjà en tant que possibilité et que la nommer la ferait naître au monde ? ça me semble déjà un peu plus clair de le voir ainsi. Est-ce ainsi, qu’après sa naissance, l’enfant naîtrait au monde ?
Claude : En mécanique quantique (la nouvelle religion mondiale !), il est dit qu’avant la naissance de la particule (première pierre d’une réalité), il y a un champ d’onde de probabilité, de potentialité (donc cela n’existe pas vraiment). Et il suffit à un Observateur d’observer une probabilité pour que celle-ci devienne “réalité” !
Mais comment un observateur peut-il faire “effondrer” un champ d’onde de probabilité non mesurable et le transformer en possibilité réalisable et mesurable ?
J’émets l'hypothèse qu’à notre niveau d’existence, il suffit simplement de nommer la chose clairement (émettre un concept permet la conception !), d’y mettre une “pincée” d'attention et d’intention afin que le concept soit vivifié (attention et intention seraient l’essence de Vie). C’est le spermatozoïde de l’esprit (intention) qui féconde l’ovule (concept) et par l’attention qu’on lui porte fait grandir cette réalité.
Puis effectivement, vient le moment de la naissance dans le monde. Pour un enfant humain il devra attendre sa formation d’une durée habituelle de neuf mois avant d’avoir la permission d’entrer dans le nouveau monde.
Mais il devra attendre encore de nombreuses années avant de naître réellement au monde, avant de devenir une partie intégrante de la conscience collective (le champs de force de l’humanité). Il devra recevoir beaucoup “d'effets” du monde. Et s’il arrive à intégrer tous ces effet, il deviendra un super point cause dans le monde, capable de produire des effets positifs, comme un Bouddha.
Nous pouvons penser que les gens qui produisent des effets négatifs dans le monde (comme un Hitler) sont des points causes réactifs qui n’ont pas pu intégrer les effets que le monde a produit sur eux ; alors ils tentent de les intégrer en les “dramatisant”, en les rejouant sur la grande scène du monde, entraînant tous ceux qui ont des créations non terminées. Ces créations sont soit similaires, soit contraires ce qui donne un grand jeu “négatif” comme les guerres.
ATIAN : Comment pourriez vous réellement vous créer le devenir dont vous rêvez ?
J’ai envie de dire : « En le rêvant, je le crée ». C’est amusant, non ? Et simple !!
Au plaisir !!!
Claude : C’est ça...
Avec plaisir !